𝐋𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐚𝐝𝐨𝐱𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐮𝐬𝐬𝐮𝐫𝐞𝐬 : 𝐪𝐮𝐢 𝐩𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐫𝐞́𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐠𝐨 ?

Lors de sa rencontre inutile avec le premier ministre belge, Felix Tshisekedi a été photographié portant des chaussures 𝐀𝐥𝐥𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐝𝐫𝐨 𝐃𝐞́𝐦𝐞𝐬𝐮𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐜𝐮𝐢𝐫 𝐝'𝐚𝐥𝐥𝐢𝐠𝐚𝐭𝐨𝐫, d'une valeur approximative de 𝟏𝟏 𝟎𝟎𝟎 $. Cette somme représente presque le salaire mensuel du premier ministre belge qui touche 18,000€, moins que le salaire d’un député congolais et encore loin inférieur au salaire d’un ministre congolais. Tshisekedi beigne dans une opulence sans nom alors que les citoyens congolais souffrent dans une pauvreté extrême. La situation est d'autant plus contrastée que le premier ministre belge, présent sur la même photo, portait des chaussures modestes. Cette disparité entre la richesse affichée par le président congolais et les conditions de vie précaires de la population soulève des questions légitimes. Comment un dirigeant d'un pays aussi pauvre peut-il se permettre un tel luxe, lorsque son peuple croupît dans une pauvreté extrême? Au-delà de l'ironie apparente, cet épisode met en lumière un problème plus profond : le manque de leadership et la responsabilité des dirigeants congolais. Et si le vrai pillage des ressources du Congo se faisait par les mêmes qui s’en plaignent? La corruption et la mauvaise gestion internes sont les vrai maux qui enfoncent ce pays dans le malheur. Le Congo a besoin d'un leadership fort et intègre, capable de lutter contre la corruption et de promouvoir le développement durable. Les dirigeants doivent agir en faveur de l'intérêt national plutôt que de leurs intérêts personnels. Sans cela, le pays continuera de souffrir, le véritable ennemi du Congo est bien celui là! Il mange quand toi et moi on souffre! Il se fout de nous!