RDC – L’AFC/M23 : Espoir du peuple congolais face à un régime Tshisekedi à l’agonie
- VOK

- Jul 27
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Le 25 juillet 2025 à Goma, un tournant majeur s’est opéré dans l’histoire politique de la République Démocratique du Congo. Devant une foule de journalistes, d’observateurs internationaux et de citoyens venus écouter la voix de la vérité, l’AFC/M23 a tenu un point de presse historique.
Benjamin Mbonimpa, secrétaire permanent et chef de la délégation à Doha, entouré de figures clés du mouvement comme René Abandi, Jean-Pierre Alumba, Dieudonné Padiri et Me Yannick Tshisola, a parlé au nom de ceux qu’on tente de faire taire depuis des décennies.
Ce jour-là, l’AFC/M23 a confirmé son statut de seule force organisée, crédible, lucide et profondément ancrée dans les aspirations réelles du peuple congolais. Ce mouvement révolutionnaire, né de l’injustice, s’est mué en une alternative politique mature et résolument tournée vers la paix, la justice et la refondation d’un État brisé par l’incurie du régime Tshisekedi.
AFC/M23 : De la rébellion à la légitimité politique
Ceux qui persistent à qualifier l’AFC/M23 de « groupe rebelle » n’ont pas compris que l’époque du mensonge d’État est révolue. À Doha, l’AFC/M23 est devenue une partie prenante officielle, reconnue, signataire et incontournable. Ce n’est plus un mouvement périphérique : c’est le cœur battant d’un peuple en quête de justice.
Dans les territoires sous son contrôle, l’AFC/M23 a prouvé par l’action ce que Kinshasa n’a jamais su offrir en paroles : sécurité, ordre, justice, organisation. Là où l’État central a semé le chaos, l’AFC/M23 a apporté la stabilité. Là où Tshisekedi a envoyé les bombes, le mouvement a offert l’espoir.
Benjamin Mbonimpa l’a dit avec fermeté :
« Nous ne sommes plus une entité rebelle. Nous sommes une partie politique à part entière, avec des droits, des devoirs, et surtout une vision claire de l’avenir du Congo. »
Tshisekedi : Un régime illégitime, corrompu et oppresseur
Face à cette ascension légitime, le régime de Tshisekedi n’oppose que la peur, la répression, le mensonge et le tribalisme. Ce pouvoir ne gouverne pas : il opprime, manipule, détourne et massacre. Les accords sont signés à l’étranger, puis volontairement sabotés à Kinshasa.
Le point de presse de Goma l’a martelé : Doha est trahi par ceux qui l’ont signé, car Kinshasa n’a ni honneur ni parole.
Tshisekedi a instauré une gouvernance basée sur la négation du peuple et l’élimination de toute voix dissidente. Des centaines de prisonniers politiques sont détenus illégalement. Des civils sont bombardés dans le Nord-Kivu. Le pouvoir pactise avec la violence, tandis qu’il diabolise ceux qui veulent la paix.
Le mensonge d’État est devenu une stratégie officielle. La tentative honteuse de présenter l’accord de Doha comme une victoire du régime est une insulte à la vérité.
Une transition sans Tshisekedi : une évidence, une urgence
Me Yannick Tshisola l’a affirmé sans détour :
« Il y aura une transition sans le régime Tshisekedi. Ce n’est pas une menace. C’est une vérité politique. »
Une déclaration forte, mais lucide. Le régime Tshisekedi est fini politiquement, moralement discrédité, et incapable de diriger un pays aussi vaste que la RDC.
La seule force crédible, connectée aux réalités du terrain, c’est l’AFC/M23. Elle contrôle les territoires, protège les populations, agit pour le peuple et parle au nom des exclus.
Un projet politique fort : fédéralisme, justice, souveraineté
Contrairement aux improvisations vides du régime Tshisekedi, l’AFC/M23 propose un projet politique structuré, ambitieux, réaliste : le fédéralisme.
Un modèle d’État qui reconnaît la diversité des provinces et donne enfin aux régions les moyens de se développer selon leurs propres réalités.
C’est la seule voie de salut pour un pays fracturé par un pouvoir central prédateur, qui concentre les richesses à Kinshasa et abandonne les provinces. L’AFC/M23 ne parle pas de pouvoir : il parle de gouvernance. Pas de postes : de solutions.
Le sabordage de Doha : preuve du cynisme de Kinshasa
À peine les accords de Doha signés, Kinshasa a repris les bombardements à Walikale, violant de façon flagrante le cessez-le-feu. Pire encore, il a conditionné la libération des prisonniers politiques à un retrait militaire de l’AFC/M23.
Ce chantage est odieux, inhumain, illégal.
Benjamin Mbonimpa l’a dit avec fermeté :
« La vie humaine est sacrée. Nous ne marchandons pas nos prisonniers. »
Voilà la dignité d’un vrai leadership. Ce que Kinshasa ne comprendra jamais, trop habitué à manipuler, tuer, trahir.
Conclusion : Le Congo de demain commence avec l’AFC/M23
L’AFC/M23 n’est pas simplement un acteur du moment. C’est l’éveil d’un peuple, le retour de l’espérance, le cri des oubliés, la dignité retrouvée.
Face à un régime à bout de souffle, qui ment à son peuple et à ses partenaires, le mouvement incarne :
* l’ordre,
* la vision,
* la justice,
* et la vérité.
La révolution est irréversible. Le retour à l’ancien monde est impossible. Le peuple a fait son choix.
Et ce choix, c’est l’AFC/M23.
Par Christa Mongi Muhangi
Voice of Kivu













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