RDC : Le régime Tshisekedi à l’agonie, l’AFC-M23 comme unique voie vers la paix et la sécurité
- VOK

- Jul 12
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Le régime illégitime de Félix Tshisekedi à Kinshasa est aujourd’hui dans un état de décomposition avancée. Discrédité sur la scène nationale et internationale, rejeté par une large partie de la population congolaise, ce pouvoir ne subsiste plus que par la force brute, la désinformation systématique et la manipulation des esprits. Sa gestion calamiteuse de la crise dans l'Est du pays, son mépris des engagements internationaux et ses violations répétées des droits humains illustrent le degré d'effondrement d'un État devenu oppresseur de son propre peuple.
Une fuite en avant dans la guerre
Face à son incapacité à résoudre pacifiquement les causes profondes du conflit à l’Est, Kinshasa s’enfonce dans une logique de guerre totale. Le régime Tshisekedi refuse d’honorer les engagements pris dans le cadre des pourparlers de Doha et choisit à la place de saboter toute perspective de paix. Plutôt que de privilégier le dialogue avec l’AFC-M23, seule force organisée et crédible engagée pour une paix durable, Kinshasa relance la machine de guerre.
À défaut d’un projet politique, le régime déploie massivement les troupes des FARDC appuyées par des groupes armés criminels tels que les FDLR (force résiduelle accusé du génocide contre les Tutsi au Rwanda), les milices tribales Wazalendo et même des militaires burundais de la Force de Défense Nationale du Burundi. Ces forces coalisées commettent de véritables crimes de guerre en ciblant volontairement des zones civiles densément peuplées, semant la terreur, les massacres et les déplacements massifs de population.
La population en otage d’un régime criminel
Le régime Tshisekedi, fidèle à ses pratiques autoritaires, considère la population congolaise comme un bouclier humain ou une variable d’ajustement dans ses calculs politiques. Les civils de l’Est, particulièrement dans le Nord-Kivu, vivent sous la menace permanente de bombardements aveugles, de pillages, de viols et d’exécutions sommaires. Les groupes alliés de Kinshasa – FDLR, Wazalendo, troupes burundaises – agissent dans l’impunité totale, avec la complicité tacite du pouvoir central.
Ces actes ne relèvent pas de simples "dérives militaires" : ils sont le fruit d’une stratégie délibérée d’anéantissement des zones perçues comme favorables à l’AFC-M23, dans une logique génocidaire à peine voilée. Kinshasa ne cherche pas à reconquérir le territoire pour le peuple, mais à punir les populations jugées "suspectes" de sympathie envers un mouvement porteur d’un projet alternatif.
L’AFC-M23 : bouclier du peuple, moteur de paix
Dans ce contexte de terreur d’État, l’AFC-M23 apparaît comme la seule alternative crédible, cohérente et légitime. Non seulement le mouvement s’est engagé dans les processus de paix avec sincérité et transparence – contrairement au régime de Kinshasa –, mais il a également démontré une capacité organisationnelle et militaire à protéger les populations vivant sous son contrôle.
Contrairement à la propagande haineuse distillée par le pouvoir, l’AFC-M23 n’a jamais mené une guerre contre les Congolais. Bien au contraire, il s’est positionné comme un mouvement de libération nationale, soucieux de restaurer la paix, la justice, et la coexistence pacifique entre toutes les communautés sans discrimination ethnique ou géographique. Sa discipline, son ouverture au dialogue et son attachement à la sécurité civile font de lui le seul rempart réel face au chaos entretenu par Kinshasa.
Et aujourd’hui, dans un moment critique, l’AFC-M23 réaffirme clairement sa détermination à protéger la population contre toute menace militaire, qu’elle vienne des FARDC, des FDLR, des milices Wazalendo ou des forces burundaises illégalement présentes sur le sol congolais. Ce n’est pas un appel à la guerre, mais un engagement de responsabilité : la défense des innocents, la sauvegarde des vies humaines, et le refus de l’anéantissement ethnique.
Une légitimité populaire contre une autorité usurpée
La réalité est limpide : le régime Tshisekedi ne gouverne plus que par la terreur, la manipulation et l’intervention militaire étrangère. Sa légitimité est inexistante. En revanche, l’AFC-M23, à travers sa constance, son engagement pour la paix et sa capacité à assurer l’ordre dans les zones libérées, incarne la seule autorité légitime émanant du peuple.
Il est temps que la communauté nationale et internationale cesse de fermer les yeux sur les atrocités commises par Kinshasa, et qu’elle reconnaisse enfin l’AFC-M23 pour ce qu’il est : un acteur central et incontournable de la résolution de la crise congolaise. Persister à diaboliser ce mouvement, c’est choisir le camp de la guerre, du mensonge et de l’inhumanité.
Le peuple congolais mérite mieux que la misère, les massacres et les discours creux. Il mérite une gouvernance responsable, inclusive et tournée vers l’avenir. Le régime Tshisekedi a échoué sur tous les plans. Son maintien au pouvoir n’est qu’une prolongation inutile des souffrances du peuple.
L’heure est venue de reconnaître l’AFC-M23 comme la seule alternative crédible, à la fois politique et sécuritaire. Un mouvement capable d’unifier les Congolais au-delà des divisions ethniques, de pacifier les régions martyrisées et de bâtir les fondations d’un État juste et stable.
L’AFC-M23 est prêt à défendre le peuple. Il est prêt à dialoguer. Il est prêt à reconstruire.
La paix ne viendra pas de Kinshasa. Elle viendra de ceux qui, sur le terrain, protègent les innocents et refusent la compromission avec la haine. Aujourd’hui, ce sont eux, et eux seuls, qu’il faut soutenir.
Par Christa Mongi Muhangi
Voice of Kivu













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