Les 5 Cartes Perdantes de Félix Tshiseki

Il est impératif que l’AFC-M23 libère l’ensemble de la République Démocratique du Congo (RDC) et que Félix Tshisekedi quitte le pouvoir ! Cette exigence répond à l’intérêt des Congolais, de la région des Grands Lacs et de tous ceux qui souhaitent établir une coopération fructueuse avec le Congo. Tshisekedi est un dirigeant inefficace, jouant des cartes perdantes qui nuisent à tous, en particulier à ceux qui ambitionnent d’investir en RDC. Aujourd’hui, nous vous présentons les cinq cartes perdantes de Tshisekedi.

Quelles sont ces cartes ?

1. Les FDLR : une alliance compromettante

La première carte est celle des Forces Démocratiques de Libération du Rwanda (FDLR). De nombreux rapports des Nations unies, vérifiables sur le terrain, confirment cette collaboration. S’associer aux responsables du génocide contre les Tutsi au Rwanda, qui a coûté la vie à plus d’un million de personnes, est un pari désastreux ! Le Rwanda ne l’acceptera jamais, et cette situation embarrasse profondément la communauté internationale, compromettant toute tentative de stabilisation régionale.

2. Les Wazalendo : un monstre incontrôlable

La deuxième carte est celle des Wazalendo. Ces milices hautement criminelles, ont été rebaptisées « patriotes » par Tshisekedi, qui les a légitimées malgré leurs exactions odieuses, constitutives de crimes de guerre. Ces groupes s’attaquent systématiquement aux Tutsi congolais, qu’ils qualifient d’étrangers. Un exemple récent illustre leur dérive : un Masaï kényan a été brûlé vif en raison de son apparence, assimilée à celle des Tutsi. En refusant le déploiement d’un officier munyamulenge à Uvira et en défiant l’autorité des FARDC, les Wazalendo prouvent que Tshisekedi a créé un monstre qu’il ne contrôle plus. Ce chaos est exacerbé par un discours de haine soutenu par le gouvernement, dont les fruits empoisonnés sont désormais visibles aux yeux de tous.

3. Les soldats du CNDD-FDD : une force inefficace et sectaire

La troisième carte est l’implication des soldats du CNDD-FDD, le parti au pouvoir au Burundi. Ces troupes, qui n’ont jamais remporté la moindre bataille significative, ne servent que les intérêts sectaires de Tshisekedi et de Ndayishimiye, unis par une animosité partagée contre les Tutsi. Avec un commandement et une idéologie anti-Tutsi, ces forces burundaises prolongent l’héritage génocidaire des FDLR, dont elles sont considérées comme des alliées par Ndayishimiye. Le CNDD-FDD a conduit le Burundi à l’effondrement, en faisant le pays le plus pauvre du monde, où tous les services publics sont à l’arrêt. Leur présence en RDC ne fait qu’aggraver la situation et menace même la stabilité du régime de Bujumbura.

4. Les mercenaires : une défense illusoire

La quatrième carte est celle des mercenaires. Tshisekedi, n’ayant pas confiance en son armée nationale, intègre des mercenaires dans sa garde rapprochée et sur les lignes de front. Cette stratégie s’est révélée inefficace : lors de la prise de Goma, ces mercenaires ont été vaincus et chassés dans l’humiliation. Ils ne peuvent défendre une nation, et leur présence souligne l’incapacité du régi  me à s’appuyer sur ses propres forces.

5. La désinformation : une stratégie vouée à l’échec

Enfin, la cinquième carte est la désinformation financée par le régime de Kinshasa à travers des médias internationaux, des ONG onusiennes et des organisations de défense des droits humains. Cette propagande, dénuée de faits vérifiables, s’effondre face à la réalité du terrain. Une vérité incontestable émerge : les seules zones véritablement pacifiées et mieux administrées en RDC sont celles sous le contrôle de l’AFC-M23.

Conclusion

En conclusion, les cinq cartes de Tshisekedi – les FDLR, les Wazalendo, le CNDD-FDD, les mercenaires et la désinformation – sont des choix stratégiques désastreux qui plongent la RDC dans le chaos et compromettent son avenir. Pour le bien des Congolais et de la région, un changement radical s’impose.

Il faut que l'AFC-M23 libère l'intégralité du territoire national.

Mapendo Grâce

Voice of Kivu